Votre perso
Nom :Von Hardenberg, née d'Arpège-Emilda
Prénom :Opium
Surnom :
Age :38 ans
Race :humaine
Arcane vénérée ( Sauf pour les races de types Néantiens [ Morts-vivants, vampyrs, Démons, etc ):
Arcane de la terre
Description physique (6 lignes minimum):
Opium est grande, peut être approche t-elle le mètre soixante dix. Elle a les cheveux épais et châtain foncé, elle a un visage fin et un nez aigu. Mais ce qui fait d'elle un joyau, ce sont ses yeux, de grandes et belles émeraudes qui s'intillent sous ses paupières. Malheureusement, trop souvent, des larmes viennent gonfler et rougir ces merveilles. Sinon, on ne peut dire qu'elle soit dépourvue d'attributs. Si nous jouissons de sa personne depuis trente huit ans, en la regardant on a l'impression que cet admirable fantôme de tristesse ne nous hante que depuis une vingtaine d'années. Si personne ne peut atteindre la perfection physique, certain peuvent en être très proche, et elle fait parti de ceux-là.
Description du caractère (6 lignes minimum):
Étant jeune, elle était d'une humeur toujours légère, exposée aux emportements. Après son mariage, elle changea incontestablement. Toujours d'humeur égale, une humeur froide, et, après "l'événement", cette humeur se trouva définitivement empreint d'une tristesse à faire pleurer le plus dur des coeurs. Aujourd'hui, elle se moque de tout, repousse indifféremment tout ses prétendants, parmi lesquels, trop souvent, des saoulards essayant de la peloter. Se fichant pas mal des amitiés même les plus simples et douces, tout comme de ceux qui essayent de la consoler. Elle a tout à fait conscience de son état, et également du fait qu'elle doit se ressaisir si elle ne veut pas sombrer.
Histoire/Passé (15 lignes minimum):
Opium est née dans une famille d'aristocrates, tout ce qu'on attendait de sa naissance: qu'elle est lieu durant la période du signe de la beauté, et bien, tout se passa comme prévu. Naturellement, depuis des générations et des générations, tout les membres de sa famille naissent sous ce signe. Il n'y avait eu qu'un ou deux canards boiteux et on les avait bien vite oublié. Mademoiselle Opium d'Arpège-Emilda reçue sont éducation scolaire d'un précepteur, et fut élevée comme une parfaite bourgeoise. Dans sa jeunesse, elle eut, toujours comme toutes nobles se respectant, une période de rébellion adolescente, durant laquelle elle eut une relation pendant quelques mois avec un Dalharen (chaud bouillant) un tantinet porté sur le sport de chambre, une passion brève mais ardente qui fut probablement la meilleure période de sa vie. Peu après, elle apprit que ses parents lui avait trouvé un fiancé du meilleur milieu: il s’agissait du fils du baron Von Hardenberg, le jeune et beau Karl August. Comme si elle suivait le parcours conforme des noblions elle résista à ses parents et aux avances du jeune homme pendant des mois avant de céder sous le poids des persuasions. A 19 ans, elle devint très officiellement Madame Opium Von Hardenberg, alors que l'orgueil d'un droit conquis s'étalait sur le visage du baron, qui était (carrément macho) un brin phallocrate. Dans l'année, elle tomba enceinte, c'est là que tout bascula. Opium avait apprit que son époux haïssait les laiderons, elle l'avait, de ses propres yeux, vu tuer un de ses chiens de chasse de sang froid à cause de sa laideur, il avait également battu une servante jusqu'au sang car elle n'était pas jolie. Lui aussi sortait d'une famille où naître sous le signe de la beauté n'était pas une chance mais un devoir. C'était ainsi que la jeune femme avait constaté avec effroi que la fin du dix septième décan approchait et qu'après il s’agissait du premier décan du signe de l'amour. Quand la fillette naquit, donc au premier décan, Karl August entra dans une fureur noire et se mit à tout démolir, il était entré dans la chambre, avait vu le bébé, il était laid, inutile de se le cacher, le jeune homme avait saisit l'enfant par le pied, l'avait critiqué de haut en bas, puis l'avait jeté sur sa mère et avait claqué la porte. Ce fut après cela qu'elle se résolue à abandonner sa chère petite, et lorsque ce fut chose faite elle haït son mari de toutes ses forces, elle ne voulut plus qu'il la touche. Après vingt ans de plan échafaudé pour s'enfuir de son manoir, elle décida de passer à l'acte et de tuer son mari, ce jour là alors qu'elle préparait son poignard, une servante était venue lui annoncer qu'on avait assassiné Monsieur à coup de hache... .
Ce coup de chance inespéré lui permis de partir sur le champ à la recherche de son vilain petit canard.
Territoire (Cala etc…) : solitaire
ps: pas d'animal de compagnie
le code c'est: OK by Uriel