...Car tel est mon souhait. Je venais d'arriver au puit, lieu calme et reposant, revoyant un dernière fois sous mes yeux et dans ma tête les pages de ce livre, si précieux à mes yeux à présent, que j'avais abandonné dans un rayon d'une étagère immense de la grande bibliothèque de Deleïr. Ce livre m'avait transmis son savoir, du moins une partie, et je devais à présent libéré et tésté ce savoir, car c'est ainsi que l'on apprend, car c'est ainsi que je deviendrai plus forte.
Le lieu qui m'entourait était fort humide, et donc propice à l'utilisation de la magie que je tentais de maitriser. C'était au centre d'une clairière d'un des bois entourant Deleïr. Et au centre se trouvait un petit amas de pierre, déposaient en cercle avec comme centre un trou plutot profond. Le sol était convert d'herbe, et la rosé était déja passé, car mes pieds ressentaient l'eau et la terre regorgée d'eau.
Au sol, je pris un pierre. Dans ma tête, demeurait l'image du livre, et je voyait ma main le feuilleter. J'arriva enfin à la page souhaitée. L'image s'approcha, et je pus lire les lettres, bien que petites, sans aucun mal. Il y avait inscris sur ce papier ancien des runes magiques du peuple Dallalie. Je me focalisa sur une de ses runes, et je tint la pierre plus fort, mais à l'aide seulement de ma main droite. Une lueur violette transperça la pierre, or je savais que cela se passait ainsi, et ma surprise n'en fut que très réduite. Un frisson parcourut ma main, et mes poils s'hérissèrent tel le vent qui soulève les feuilles des arbres.
Quand je réouvris mes yeux, je vis que mon expérience magique était un succès, et au bout de mon bras de chair et d'os, je découvris une main de pierre, car transmutation avait marché...