Votre persoNom : Hallistrad
Prénom : Aucun, un phényx n'a pas besoin de prénom
Surnom : Le feu secret
Age : 297 ans, selon des critères purement humains, puique le phényx renait de ses cendres
Race : Feal, Phényx
Arcane vénérée : le Feu, quoi d'autres
Description physique : Hallistrad est un magnifique phényx d'une couleur rouge orangé, parfois or sur ses plumes et d'un rouge plus foncé sur son corps le plus souvent. Il est aussi d'un jaune clair ou pale presque blanc quand il va bientôt renaitre ou qu'il vient de le faire. Et ses couleurs sont dans un ton bleu, quand il est malade ou blessé. Comme pour indiquer sa chaleur corporelle. Ses yeux sont d'un noir de nuit, sans pupille, ceux qui le regardent dans les yeux ont parfois l'impression de tomber dans un profond abyme. Ses serres sont d'un blanc très pur comparé au reste de son corps, et très coupantes, de même que son bec. Méfiez-vous en.
Description du caractère : Ce phényx est un peu particulier, il n'a jamais connu d'autres congénères de son espèce. Il est donc d'un naturel très solitaire, mais a parfois besoin de compagnie, ou plutot d'une chose qu'il a découvert chez les Peuples. Le feu, qui est différent du Feu qui brule sur son corps. Ainsi Hallistrad aime observer le monde, en se cachant dans les flammes d'une cheminée ou dans celles d'un feu de camp. Il aime parcourir le monde, voler dans le ciel libre de toute entrave particulièrement au moment du coucher de soleil, où la couleur de son corps se confonds avec le ciel.
Il se méfie aussi des Peuples depuis un certain evenements. Mais il peut aussi offrir ses services pour un temps plus ou moins courts à un forgeron, ou un conteur.
Hallistrad a peur de l'océan, qu'il ne resurvolera jamais suite à sa confrontation avec le monstres des eaux. Il a aussi peur de l'eau en général, et ne comprends pas comment de l'eau peut tomber du ciel.
Il ne discerne pas encore les différentes races de bipèdes, pour lui ils sont les Peuples, et même un personnage seul sera le Peuple. Il ne connait que peu les autres Feals, à part les licornes, parce qu'ils n'en a simplement jamais vu, a par quelques dragons, qu'il évite par méfiance.
Histoire/Passé : Son histoire présente, son passé oublié, sa légende future…
Son vol était libre, gracieux, envoutant pour quiconque avait la chance de l'apercevoir dans le ciel. Il avait une forme de flamme plutot que celle d'un oiseau.
Feu qui vol,
Rouge qui plane,
Liberté. Il observait ce monde d'en haut, cherchant quelquechose, dont lui-même ne savait pas l'origine. Comme un besoin. Un océan de verdure s'étendit sous lui, le vent, son ami, lui montrait le chemin, lui racontant des mythes et des légendes oubliés des Peuples. Une odeur montait à l'assaut du ciel. Il la respira, s'enivrant de ces bribes de pensées qu'il y percevait, puis la suivit, descendant en tournoyant autour de cette odeur si particulière qu'était celle d'un feu. Il s'y trouvait des gens des Peuples mais loin. L'oiseau n'hésita pas, il se laissa aspirer par le feu, laissant sa forme devenir plus éthérée encore, fermant les yeux, et attendant le retour de Ceux qui pensaient.
Bribes de paroles,
Chansons qui s'envolent,
Contes.Les hommes revinrent, et s'assirent autour du feu, l'un sortit un instrument de musique, tandis que l'autre s'occupait de leur repas. Un jeune lapin qui avait eu l'impudence de se laisser prendre au piège. Il l'embrocha et le mit à cuir au dessus du feu, puis continua la discussion qu'il avait avec son compagnon. Il mangèrent. Puis le premier homme accorda un instant son intrument avant de commencer à en jouer, chantant une mélodie. Puis les hommes s'endormirent. Mais à aucun moment, ils ne se rendirent compte que le feu était plus chaud et que les bêtes sauvages ne venaient pas troubler leur repos.Hallistrad écoutait, buvait ses paroles comme un liquide vital. L'oiseau avait toujours aimé la musique, elle lui évoquait de lointaines contrées. Elles coulaient sur lui, l'imprégnaient tout entier. Il était tel le poisson qui nageait dans la rivière, le loup courrant dans la foret, le phényx dans le feu. Il était Hallistrad, le feu secret.
Il resta là, ne bougeant plus. L'un des Peuples s'éveilla et observa le feu, il apercut une forme, et deux yeux plus noirs que la nuit, puis se rendormit, persuadé d'avoir rêvé. Hallistrad prit son envol, peu après que ce soient éteintes les flammes des hommes.
Il continua sa route vers l'est, le pays où le soleil touchait l'océan. Il resta à voler un moment en suivant la côte. Cette étendue de bleu lui faisait peur, si bien qu'il ne faisait que s'aventurer sur les bords, observant toujours avec cette même curiosité qui le caractérisait les créatures qui y vivait. Celui amena d'autres souvenirs à sa mémoire.
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Il faisait nuit, les étoiles et la dame de lune se préparaient à présider dans leur tribunal nocturne, jugeant du coeur des peuples. Comme chaque nuit depuis la création. Lui volait au dessus du grand océan, parmi la tempete qui ne l'atteignait pas mais se jouait des marins sur leur bateau. Ils l'avaient apercu, lui comme une étoile descendu du panthéon pour les saluer. Puis il avait continué sa course quand son regard d'obscurité s'était posé sur l'océan, comme attiré par quelquechose, une chose. Une créature plus puissante que lui. Il avait regardé et l'avait vu, d'abord deux yeux rouge sang, effrayant, qui semblaient l'attirer vers l'eau, son ennemi. Puis une gueule pleine de dent, plus sombre qu'une nuit sans lune, et enfin ce cri qui lui avait déchiré l'esprit. Il tombait, ses ailes ne pouvait plus le porter. Il tombait dans la gueule de cette créature. Il ne pouvait pas lutter, ne voulant pas lutter contre cette terreur sans nom qui s'emparait de lui, quand il vit quelquechose. Une lueur au dela de l'océan, une lueur qui l'appelait. Il poussa un cri, déchirant appel. Puis réussit à s'arracher à l'emprise du monstre. Il le regarda une dernière fois et le vit s'enfoncer dans les eaux, en attente d'une autre proie. Hallistrad parvint à voler vers la lueur, s'accrochant à elle, elle qui faisait battre son coeur, l'attirait plus fort que tout.
Brillance dans l'obscurité,
Jaune dans le noir,
Lueur.Il parvint enfin à la lueur, et vit que c'était un feu, il y plongea, lui qui était devenu presque bleu tant il était froid, aux limites de la mort, sa première mort. Il se posa sur l'arbre qui brulait et attendit que la fin s'empare de lui. Le monstres des eaux avait gagné, il allait mourir.
Les hommes arrivèrent le lendemain, l'arbre avait bien brulé, il ne restait rien de lui, qu'un tas de cendre et un morceau de tronc. Ils achevèrent donc de le couper pour l'emporter, laissant à la terre, les restes de l'arbre mort.
Première naissance,
Retour de la confiance,
Vivre.Hallistrad eut soudain conscience d'être toujours en vie. Etrange. Il se sentait mieux aussi, il était toujours d'une couleur jaune pâle, mais au moins il avait cessé d'être bleu. Il réussit à s'envoler au bout de la seconde tentative, et ne mit que peu de temps à trouver un feu. Atre d'un boulanger dans un four extérieur mais ouvert. Il s'y réfugia, ayant besoin de cette chaleur pour reconstituer son propre Feu. L'oiseau y resta quelques temps puis partit au crépuscule. Il retourna près de l'arbre qui lui avait sauvé la vie, et observa un long moment l'étendue bleue et le monstre. Jamais plus il ne revolerait par dessus.
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Il vira de l'aile et retrouva la sécurité des terres. Hallistrad cherchait toujours. Il survola un village au moment de la mi journée, où le soleil brillait si fort qu'il n'y avait que le phényx pour être content, car ceux des Peuples se plaignaient, ou se cachaient de lui. Il continua de parcourir cette immensité sans limite, tandis que les rayons avivaient ses couleurs. Un autre souvenir remonta à sa mémoire.
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Il s'était habitué à ses renaissances, désormais, savait que rien ne pouvait le vaincre. Il découvrit un petit village niché au coeur des plaines, et décida d'aller voir de plus près attiré par l'Odeur. Mais elle était différente, ne lui amenait pas autant de pensées. Il la suivit et découvrit qu'elle venait d'un grand brasier liquide situé au fond d'une construction de pierre. Il s'y posa. Eprouvant cette nouvelle matière, cette nouvelle sorte de feu liquide. Un homme arriva, il prit un lingot de métal qu'il déposa dans un moule de métal puis mit le tout dans son haut fourneaux sans y faire trop attention, le métal fondit rapidement sous le regard curieux du jeune phényx.
Le forgeron démoula puis commença à travailler l'épée. Il la remit quelques instants au bord du haut fourneau pour que le métal ne refroidisse pas trop vite. Hallistrad observa cette chose qui s'approcha près de lui et s'enflamma pour la faire fuir. Sa tactique fonctionna.
Le forgeron, un homme pas trop bête, ne mit que peu de temps à comprendre qu'il se passait quelquechose dans son fourneau puisque ses créations de métal était de meilleur qualité. Un jour son plus jeune fils resta un long moment à observer puis vit une forme. Il en informa en criant de joie son père qui ne voulut pas le croire, attribuant cela à ses propres qualités. Mais l'enfant ne démordit pas de cette idée et vint régulièrement apporter à manger à la chose qui vivait dans le feu.
Son père finit par le croire, et ils profitèrent sans le savoir des qualités du phényx pour forger de si belles armes que des seigneurs en entendirent parler et vinrent lui passer commande. L'enfant venait chaque nuit raconter à la chose qui vivait dans le feu de belles histoires. Si bien qu'Hallistrad ne ressentait pas le besoin de voyager, il restait là dans le feu, et sortait de temps en temps voler dans le ciel. Les années passèrent. Une nuit, l'oiseau attendit l'enfant et celui-ci ne vint pas. Il attendit des jours et des nuits sans qu'il ne vienne, sans que personne ne vienne d'ailleurs. Il sortit du haut fourneaux et se percha sur une cheminée de pierre. L'Odeur était là, mais elle ne lui apporta que tristesse et désespoir, le village était mort, et le petit d'homme ne viendrait plus jamais lui conter ses histoires. Hallistrad poussa un cri de souffrance et pleura la mort d'un Peuple. Il chercha le corps de celui qui fut son ami, et lui prit son médaillon. L'oiseau ne savait pas ce que c'était, mais l'enfant le posait toujours sur le bord de pierre du haut fourneau. Le phényx l'emporta après avoir mit le feu au corps de l'enfant. Le plus bel hommage qu'il put lui rendre.
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Il baissa la tête et aperçut toujours entre ses serres, le médaillon qui pendait au bout de sa chaine de métal. C'était un souvenir, celle d'une époque disparue, où il avait été heureux. Il continua de voler de par les plaines et aperçut l'une des villes des peuples. Il la contourna, puis aperçut dans les plaines un petit troupeau de licorne, il se joignit un moment à elles pour parcourir ses terres. Puis les salua d'un cri avant de regagner l'altitude et les bienfaits du soleil. Un froid vent du nord rafraichit ses couleurs, lui évoquant un dernier souvenir. Le reste de son passé se mêlait, en un unique souvenir confus, fruit de toutes ses vies.
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Il avait parcouru l'ensemble du continent sauf le nord, sa curiosité l'y mena donc, suite à la vie qu'il avait mené dans ce petit village tranquille. Il volait haut, battant lentement des ailes en suivant les courants d'air chaud. Quand il vit que la couleur du sol avait changé, que l'air avait changé, il descendit en planant vers cette étendue blanche s'en méfiant, gardant le souvenir du monstres des eaux.
Il se rapprocha petit à petit, puis finit par conclure qu'aucun monstre ne surgirait de cette nouvelle étendue blanche. Elle semblait froide, il trouva un rocher et se posa dessus pour observer. Il sauta et s'enfonca de quelques centimètres, réussit à garder son calme, car sa curiosité l'emportait. C'était froid. Il devint plus brulant avant de remonter sur son rocher. Il resta a observer quand soudain il vit des petites choses blanches tomber du ciel, il les observa comme hypnotisé. Sans se rendre compte que son Feu ne brûlait plus aussi fort qu'auparavant. Il finit par brûler très doucement. Le hasard voulut qu'un kershan trouve l'oiseau, et le captura.
Il le ramena chez lui, Hallistrad se réchauffa lentement grâce à la chaleur de l'air ambiant, et du feu de cheminée proche. Et se rendit bientôt compte qu'il se trouvait dans une cage de fer. Le kershan revint à ce moment là, et reconnut pour ce qu'il était un phényx. Il se dit qu'il allait devenir riche. Quand l'oiseau s'enflamma essayant de faire fondre le fer de ses barreaux sans résultat. Après plusieurs tentatives infructueuses, il se mit à surveiller le Peuple, d'un regard mauvais.
Prison de fer,
Liberté perdue,
Cage.Le kershan regardait lui aussi l'oiseau, à chaque fois qu'il se déplaçait, il sentait dans son dos, le regard sans pupille, et remercia son dieu que ce regard ne puisse lancer des flammes car il serait mort sur place.
Quelques jours plus tard, il observa le médaillon sans faire plus attention à l'oiseau. C'était un magnifique bijou. Par un sombre pressentiment, il observa la cage et n'y vit que des cendres. Le phényx s'était éteint. Il aurait dû le mettre plus près du feu mais maintenant c'était trop tard. Il nettoya les cendres et les jeta dans le feu.
Il travaillait sur un grimoire quand il entendit un craquement venant du foyer des flammes et n'eut pas le temps de réagir que quelques instants plus tard surgissait Hallistrad. Il se jeta serres en avant sur le kershan qui ne put se protéger, dégagea bientôt une horrible odeur de lézard grillé. Le phényx reprit son médaillon et s'envola par la fenetre ouverte, offrant au vent, ses derniers souvenirs, il se souvenait de l'Odeur, elle était melé de mort. On entendit un étrange cri au milieu des froides montagnes, mais ce n'était que le cri d'un phényx, un phényx qui pleurait.
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Il chassa ce souvenir de son esprit, même si il avait apprit que les Peuples lui voulaient du mal désormais il les évitait encore plus soigneusement qu'auparavant. Il continuait de se cacher dans leurs feux pour écouter leurs chants et leurs contes, mais on aurait dit qu'il avait perdu quelquechose que jamais il ne retrouverait. Son innocence peut-être.
Territoire : Un peu partout sur le continent où se trouve Feorya.
Votre animal (seulement si vous en désirez un):Prénom: Amatìrë
Age: 23 ans
Race: Elfe Mortis et Dalharen
Comment l'avez-vous rencontré/trouvé/adopté ? : Dans la forêt près d'une ville des Peuples, alors que Am' s'y promenait.
Description physique: Elle est plutot grande, de long cheveux bruns ainsi qu'une mèche blanche. Son corps est fin. La jeune femme a de grand yeux verts emeraude et des oreilles pointus comme sa mere. Elle est bien habillé et sait prendre soin d'elle-même sans elle, peut même communiquer seule avec les autres habitants.
Description du caractère: Elle a souvent l'esprit ailleurs, comme pensant à son mâle. Mais autrement, pique souvent des crises pour un rien.
[b]Un code :
Code ok, par Am'(Je rigoleuh, bien sur, c'est une plaisanterie, mais j'accepte d'éditer ma fiche, si un certain grand dragon s'en vexe trop) 
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